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 CHARLIE ▬ On est devenue des experts dans le sabotage de notre bonheur.

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Charlie E. Reckless

« Charlie E. Reckless »
Mettre des mots sur des maux.




~ MESSAGES : 242
~ EMPLOI & LOISIRS : Je vends des pâtisseries, je chante à l'occasion dans des cabarets.
~ PHOTO : C'est l'histoire de la viiiie !!! ♫
~ CITATION :
J’avais tout prévu, je voulais changer ce que j’étais au fond de moi, me créer une nouvelle identité, une nouvelle vie, un nouveau moi débarrassé de ce passé, de cette douleur, devenir quelqu’un de vivant. Mais ce n’est pas facile, les veilles blessures peuvent se rouvrir, se rappeler à toi. Et je ne peux pas y échapper, malgré tout mes efforts. Tout ce qu’on peut faire, c’est s’attendre au meilleur et s’il arrive accepter de le recevoir, on en a tellement besoin, j’en ai tellement besoin.



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MessageSujet: CHARLIE ▬ On est devenue des experts dans le sabotage de notre bonheur.   CHARLIE ▬ On est devenue des experts dans le sabotage de notre bonheur. EmptyJeu 7 Mar - 17:07


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Charlie, Elwynn Reckless
Moi, j’ai envie de croire aux contes de fées. Au moins, tout finit bien dans ces histoires là.

NOM : Reckless. PRÉNOMS : Charlie, Elwynn, Victoire DATE DE NAISSANCE : 8 Mars 1988 à Los Angeles NATIONALITÉ : Californienne. MÉTIER/ETUDES : Ancienne Avocate au barreau de Buenos Aires, aujourd'hui, gérante du Charlie's Coffee. SITUATION FAMILIALE : Célibataire. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle AVATAR : Shantel VanSanten GROUPE : Écris ici. CRÉDIT : Écris ici.

Y’a déjà assez de conneries dans le monde pour que j’en rajoute.

Comme tous les matins depuis ce fichu attentat, ce putain d'attentat, c'est les yeux cernés comme jamais que Charlie sortait de sa chambre. Chambre plongée dans l'obscurité, beaucoup plus sombre qu'à l'ordinaire. Depuis l'explosion des deux bombes c'est à peine si elle arrivait à fermer un oeil la nuit. C'était trop dur pour elle, quand elle fermait les yeux, elle les voyait. Les images, les souvenirs défilaient comme un vieux film. Sensation horrible, difficile à vivre. La culpabilité rongeait Charlie de l'intérieur. Elle c'était peu à peu renfermée sur elle-même, vivant dans le passé, elle avait ressorti de vieilles photos, des films qu'elle avait tourné avec Adriel durant leurs adolescences communes. Et tant d'autres choses qui lui rappelaient son frère et son cousin. Chez elle, elle étouffait, il y avait trop de visites, trop de coup de téléphone, trop de condoléances. Du coup, Charlie passait le plus clair de son temps dehors, à vagabonder en ville, sans aucun but, ni aucune destination. Simplement, pour éviter ces compassions et regards tendres. Elle errait tel un chien sauvage, abandonné et lâché en plein nature. Livrée à elle-même. Comme si rien n'avait d'importance, comme si le monde avait cessé de tourner. Oui, pour elle tout avait prit fin lors de l'explosion, la vie ne rimait plus à rien, il y avait eu trop de mort, pour qu'un jour, les habitants de Buenos Aires se relèvent de cette épreuve.

La jeune femme ne réfléchissait pas, elle marchait sans arriver à déchiffrer les noms des rues, sans prêter attention aux passants, ni aux endroits qu'elle traversait, le regard ailleurs, on aurait pût croire qu'elle était en train de réfléchir, de penser. Mais rien de tout ça, elle avait l'esprit vide, rien n'arrivait à la sortir de cette mort intérieure. Tout sonnait dans le vide. Même la musique, qui d'ordinaire, ravivait la flamme n'avait aucun effet, elle sortait des écouteurs, se diffusant dans les oreilles de Charlie sans qu'elle ne s'en rende compte, sans même qu'elle y prête attention. C'était le vide, le gouffre, une étrange sensation de planer au-dessus de tout. La gare, c'est sans même comprendre qu'elle était arrivée là, qu'elle continua à errer. Marchant, le long du quai, seule, tout était étrangement désert, pas un chat, pas un bruit. Elle s'installa, regardant les rails en fer, des bribes de souvenirs, vinrent frapper son esprit, Andrew, Tom, Adriel et elle. Leurs enfances, leurs jeux, leurs rires ! Non, elle ne voyait pas tout à ce moment-là, elle voyait une chose, un de leur jeu, inspirait de leur dessin animé préféré. Les Aristochats. Là, à cet instant précis, la jeune femme eu un moment de lucidité, le premier depuis qu'elle s'était levée et certainement le dernier de sa journée. Ils se faisaient de plus en plus rares, parfois même inexistants pendant plusieurs jours. Elle attrapa son ipod-nano couleur rouge, qui gisait dans sa poche parmi un paquet de cigarette, puisqu'elle avait recommencé à fumer après cet horrible évènement, son téléphone portable toujours éteint, un ticket de bus, depuis qu'elle avait quitté sa chambre. Elle chercha parmi ces nombreuses musiques avant de faire un choix. La playlist du film en route, elle ne pût s'empêcher de descendre de son perchoir, se mettant sur les rails, elle arrivait à entendre leur voix, leurs rires ! Comme s'ils étaient encore de ce monde, comme s'ils étaient là, à ses côtés.

« Je veux être devant !! » La petite fille à la chevelure couleur châtain, trépignait, quelque chose ne lui plaisait pas. Elle était accompagnée de trois garçons deux plus vieux qu'elle et un autre qui devait avoir environ le même âge qu'elle. Ils avaient l'air proches, très proches, mais quelque chose dérangeait l'enfant, elle était contrariée. Cela ce lisait sur son visage comme on aurait pu lire dans un livre ouvert. « Non Charlie, toi tu vas derrière, à la place des wagons ! » Elle jeta un regard plein de rancoeur à son frère ainé. Comme elle était la plus jeune, son frère en abusait un peu, mais cela n'empêchait pas qu'il l'aimait énormément, mais vous connaissez les relations frère et soeur, on se chamaille, on se cherche, mais au final on s'aime. « Mais, Mais, je suis pas un wagon !! Je veux être la locomotive !! » « Et pourquoi ça ? » Lui demanda son deuxième frère, amusé par la situation. « Parce que ... je suis une dame, voilà pourquoi !! » Charlie croisa ses bras contre elle, le regard triste. Andrew et Tom riaient aux éclats, Adriel la regardait d'un air légèrement moqueur, mais attendri. « Je veux bien être le dernier wagon, prends ma place, mais s'il te plait je veux que tu souri ! » « Merci Adriel !! » Elle le prit dans ses bras et l'embrassa avant de se placer en troisième position. « Tchou, Tchou !! » Les voilà qui étaient en route.

Charlie était sur les rails, marchant en équilibre, les bras bien écartés pour ne pas vaciller, elle chantait « Tout le monde veut devenir un chat ». Parsemant des « Tchou, Tchou !! » en plein milieu des paroles. Elle était comme possédée, entrainée par une force inconnue, quelque chose qui faisait que la jeune femme était incontrôlable, déconnectée de toute réalité. Oui, elle se croyait réellement il y a une dizaine d'années ... à Los Angeles, sur la voie ferré désinfectée, hors service qui se trouvait à quelques mètres de chez eux. Lieu, totalement anodins, légèrement sinistre et angoissant pour certains, mais pour d'autre un véritable terrain de jeu géant, grandeur nature. Quoi de mieux pour jouer au petit-train, que de véritable rails ? Rien, n'aurait pût leur convenir mieux que ce lieu. Ils venaient souvent, peut-être un peu trop, mais les parents Reckless ne faisaient rien pour les en empêcher, sachant qu'ils ne courraient aucun danger là-bas et qu'ils vivaient surement des moments inoubliables tous ensemble. Car, eux aussi avaient eu une enfance et ils savaient à quel point, il était important qu'ils aient un lieu à eux, qui soit l'endroit de tout leurs souvenirs. Jamais la mère de Charlie, n'aurait voulu voir ses enfants séparés, ni qu'Adriel quitte la maison. Elle le considérait comme son propre fils et non pour son neveu. Mais, bien entendu il y a une fin à tout, Adriel est partie, Charlie ne supportait pas son absence, elle a donc décidé de le rejoindre, c'était les aléas de la vie. Il fallait bien qu'un jour, les enfants quittent le cocon familial, mais elle aurait préféré qu'ils ne partent pas si loin. L'Argentine n'était pas la porte tout à côté ... Mais, si là-bas était leur bonheur, alors elle les laisserait partir. C'Est-ce qu'elle avait fait et maintenant elle aussi s'en voulait, tout comme Charlie, parce qu'elle avait perdu, deux de ses enfants et qu'elle avait l'horrible sensation d'avoir également perdue son unique fille, qui n'était plus elle-même depuis leurs morts, cela ajoutait à son chagrin, une angoisse incontrôlable. Car, elle s'imaginait le pire et malheureusement la jeune femme ne voulait pas qu'elle soit à ses côtés pour affronter cette douloureuse épreuve.

Coupée de toute réalité, Charlie ne faisait attention à l'environnement qui l'entourait. La musique se diffusant dans ses tympans, l'empêchait d'entendre le moindre bruit, le moindre cri. Elle était hors de portée, rien ne pouvait la ramener sur terre, car oui on peut le dire, elle était partie loin, très loin, surement sur une autre planète à ce moment-là. Peut-être que cela lui faisait du bien intérieurement, mais cela ne pouvait que la faire sombrer encore plus bas, de vivre dans le passé de cette manière. C'était malsain, ça ne pouvait qu'aggraver son état de plus en plus dépressif, il fallait qu'elle se réveille, qu'elle prenne conscience, mais rien, rien ne pouvait lui faire ouvrir les yeux, c'était fini, elle ne croyait plus en rien, pas même en l'amour, parce qu'après les révélations de Micael, comment pourrait-elle continuer à y croire ? Ces aveux avaient eu l'effet du lame planté en plein coeur, elle en saignait encore. Charlie l'aimait à nouveau et malgré ses craintes elle avait voulu y croire, accepter de leur laisser une seconde chance et puis voilà qu'il avait un bébé, une ex avec qui il avait recouché. C'était le coup de massue, ce qu'elle croyait qui pouvait la sauver, n'était en fait que mirage et l'avait non pas sauvée, mais enfoncée un peu plus.

Alors que la jeune femme se tenait toujours sur les rails, coupée du monde, un train apparut à l'horizon, mais malheureusement, Charlie lui faisait dos et ne pouvait donc le voir, sa musique, l'empêchait de l'entendre, elle continua donc à occuper les rails, sans réfléchir. Mais, le train continuait de s'approcher, c'était surement la fin, elle ne le savait pas, mais sa vie était en danger, comme si la mort la guettait. Au fond, mourir était peut-être la solution. Elle retrouverait certainement Adriel et Tom. Désormais, seulement quelques mettres séparaient l'engin mécanique de la jeune femme, lorsqu'elle sentit les rails vibrer sous ses pieds, elle se retourna et fit face à l'énorme tas de ferraille qui se tenait derrière elle depuis plusieurs minutes. Elle écarquilla les yeux, mais resta figée sur place, comme si elle ne sentait pas le danger. C'était étrange, mais elle n'arrivait pas à réaliser, que ce train fonctionnait, qu'elle allait se faire écraser, qu'elle allait y passer. La jeune femme ne bougea pas, restant là face à la mort.

J’étais prêt à tourner la page mais c’est la page qui ne veut pas se tourner.

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8 Mars 1988 ; Californie - Los Angeles.
Une jeune femme installée sur un lit d’hôpital tenait dans ses bras un nouveau-né, le bracelet à son poignet minuscule indiquait le prénom Charlie. Charlie pour une petite fille, le troisième enfant de la famille Reckless, la cadette de deux ainés turbulents mais pourtant adorables. Reckless, vous avez dit Reckless comme The Pretty Reckless ? Non, pas de rapport, mis à part la musique. Oui, car la famille de la petite Charlie, vivait par et pour la musique. Le visage radieux de Madame Reckless, Victoire de son prénom en traduisait long sur le bonheur qui à ce moment la remplissait de joie. Joie d’avoir un enfant en parfaite santé, d’avoir enfin, la petite fille tant espéré par la famille. Le silence était agréable, les légers pleurs de l’enfant étaient merveilleux pour la jeune femme. Bientôt la petite rirait aux éclats, ce sera encore plus merveilleux. « Papa, on veut rentrer !! » « Oui, Papa, vite, vite, vite !! » A l’entente de ses deux voix, Victoire laissa s’échapper un léger rire, ces deux garçons attendaient Charlie depuis maintenant neuf mois. Neuf très longs mois pour eux. Impatients ils l’étaient à un point de non-retour. « Du calme les garçons, Charlie dors peut-être. Je vais rentrer d’abord, pour vérifier. Restez sage. » Demander ça, à ces deux petits garçons, c’était comme espérer que de la glace ne fonde pas à l’air libre en plein été. Impossible. Larry Reckless entra dans la chambre de sa femme, il se dirigea vers elle, toujours aussi rayonnante, l’embrassa ainsi que sa si petite fille. « Ou sont mes deux grands amours ? » « Ils sont juste derrière la porte, impatients de rencontrer Charlie. Mais je voulais m’assurer que la petite ne dormait pas avant, de les faire entrer. » Non, elle ne dormait pas, elle ne voulait certainement pas faire attendre Tom et Andrew. « Je vais les chercher. Prépare-toi à un brouhaha incessant. » Les rires se firent entendre, non ces deux enfants n’étaient pas intenables, ni mal élevés, ils étaient juste plein d’énergie et l’attente les rendaient légèrement fou d’impatience, ce qui en soit peut se comprendre. Il entrouvrit la porte et regarda ces deux jeunes fils, un sourire aux lèvres. « Vous pouvez y aller. » Il les laissa passer et à voir la scène, c’était préférable. Ils se précipitèrent tous les deux vers leur mère. « Laisse-moi passer d’abord Tom ! » « Ah non, je suis pas d’accord, c’est moi d’abord Andrew ! J’attends depuis plus longtemps que toi ! » Tom bouscula légèrement son frère pour lui passer devant. « Je veux la voir, maman, je veux la voir ! » Leur père s’approcha et s’abaissa à leur hauteur, pour leur expliquer certaines choses. « Les garçons, je sais que vous aimez déjà beaucoup votre petite sœur et que vous êtes impatient de la voir, la toucher. Mais, il faut que vous soyez grand, vous devez lui montrer l’exemple, vous comprenez ? En plus, elle est petite et fragile, alors tout ce bruit n’est pas bon. Il fait faire doucement. D’accord ? » Les deux hochèrent la tête, pour approbation. Charlie avait besoin de calme et de tranquillité comme sa mère. Tous deux s’approchèrent lentement du lit de leur maman, se mirent sur la pointe des pieds pour admirer la petite qui occupait toutes leurs pensées. « Bonjour Charlie ! » « Whoa. Elle est toute minuscule maman ! » Les yeux écarquillés ils admiraient tous les deux leur petit sœur. Elle était petite, calme, sage. Leur total opposé. Les voir admiratifs de la sorte, c’était pour leurs parents magiques. Ce qu’ils voulaient avant tout, c’est une famille unie et avec ces trois petits monstres ce serait le cas, ils n’en doutaient pas. « Oui, elle est petite, mais elle va grandir. Vous verrais. »

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Aujourd’hui – Prétoria – Afrique du Sud
Mon passé, je l’ai laissé à Buenos Aire en quittant ma seconde vie. Pour recommencer. Pour me reconstruire. Aujourd’hui, je n’en parle plus. J’essaie de me construire une vie, avec le peu que j’ai et ça me convient. La seule personne à qui je parle de mon histoire, de ce qui fait mes failles, mes forces, c’est mon psychologue. A quoi bon, ressasser le passé ? Je l’ai fait pendant des mois entiers et j’ai sombré bien plus bas que terre. Alors, non merci. Je ne retomberais pas dans cette spirale infernale. Buenos Aires a été une des pages du livre de ma vie, une très longue page, j’y ai passé 4 ans, j’y ai fait mes plus belles rencontres, Alaska ma meilleur amie, Skyler, notre histoire aura été digne d’un conte de fée, jusqu’à ce qu’il ne m’abandonne. J’y ai retrouvé Micaël aussi, se fut une belle époque. Mais j’y ai également vécut mes plus douloureuses épreuves. Même si c’est un sujet tabou depuis mon arrivé ici, je vais en parler, une seule et unique fois. Là-bas, j’ai dû affronter le coma de Skyler, l’incertitude de savoir s’il allait s’en sortir. Son abandon également, du jour au lendemain, sans aucun mot. Je me suis fait briser le cœur en beauté par Micaël, une deuxième fois. Trop naïve, je l’ai toujours été. Ensuite, il y a eu cette explosion dans le métro, cet attentat, qui a couté la vie à mon frère et mon cousin, pour ainsi dire, les personnes les plus importantes à mes yeux. Et tout ça, à cause de moi. Ils étaient là pour moi, pour me faire une surprise, une putain de surprise. A l’époque, je les adorais, maintenant, ... c’est différent. J'appréhende les aléas de la vie, ils me font peur, je n'aime plus l'imprévu, tout doit être réglé comme un coucou. Plus d'écart possible. C'est plus fort que moi. J'ai décider de raccrocher ma robe d'avocate après leurs décès, parce que j'ai perdue la foi tout simplement … j'ai passé plusieurs mois enfermé chez moi, sans rien faire, à airer dans la rue, ce qui m'a d'ailleurs risqué ma vie, j'ai faillie me faire écraser par un train lancé à grande vitesse. Heureusement, Alaska à encore été là pour moi, elle m'a sauvée, de toutes les façons possibles. Elle m'a porté, tout comme Rose, Thomas et Manuel. Heureusement, car je ne serais plus de ce monde ! Aujourd'hui, j'ai quitté l'Argentine et ce passé difficile à accepter pour venir faire ma vie en Afrique du Sud, loin de tout ce qui pouvait me rappeler quoique se soit, nouveau continent, pour nouvelle vie. Je me suis donc installée à Prétoria, j'ai acheté un fond de commerce sur Sunnyside ou j'ai ouvert le Charlie's Coffee, un petit café convivial ou je prépare des cupcakes, muffins, café et cappuccino pour mes clients. Et sincèrement, j'y prend un plaisir fou ! La cuisine à toujours été une passion et encore plus depuis tout ça, ça a été un échappatoire, tout comme l'Afrique du Sud.


PSEUDO : Tender Kangaroo AGE : 19 ans, toutes mes dents. PRÉSENCE : Je serais là, tout les jours pour vous ! SCÉNARIO ou INVENTÉ ? :Ma Charlie existe depuis longtemps, c'est un inventé. COMMENT AS TU CONNU LE FORUM ? Tout simplement, c'est mon bébé. QUE PENSES TU DU FORUM ? Je ne suis pas objective sur ce point. AVATAR :Shantel VanSanten UN PETIT MOT POUR LA FIN ? Longue vie à FYP ! : CHARLIE ▬ On est devenue des experts dans le sabotage de notre bonheur. 2034696736 CHOISIS UN SMILEY : CHARLIE ▬ On est devenue des experts dans le sabotage de notre bonheur. 3078077984

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